Il circule depuis quelques jours une correspondance émanant d’un soi-disant mouvement citoyen de lutte contre la corruption qui serait adressée au Procureur général près la Cour de cassation avec pour objet : « ouverture d’un dossier judiciaire à charge du Directeur Général du FPI. «
Il sied de constater qu’ayant échoué de convaincre les autorités politico-administratives et la population dans leur dernière livraison de mensonge dans les réseaux sociaux, les mêmes nostalgiques, jaloux des résultats encourageants de l’actuel comité de gestion du FPI, instrumentalisent aujourd’hui un groupe d’individus qui s’évertuent à ternir l’image de marque du FPI et celle du DG en vue de l’exposer au mépris des autorités et de la population.
Si cette correspondance était réellement adressée au Procureur général, comment expliquer qu’elle porte des accusés de réception de plusieurs administrations tels que la Présidence de la République, la Primature, l’Assemblée Nationale, le Ministère du Portefeuille … ? L’on comprend aisément que l’intention de nuire est manifeste en ce moment particulier où le Gouvernement compte avec le FPI pour la réalisation de plusieurs projets.
Le détournement de fortes sommes d’argent qui n’existe que dans leur imagination jusqu’à dire que 250 millions de dollars auraient disparu en 35 mois de gestion de l’actuel comité de gestion ? Il faut avoir de la mesure. Si le ridicule pouvait tuer!
Pour ceux qui pourraient être tentés de consommer ce poison émotionnel, il importe d’indiquer que 250 millions de dollars c’est quasiment 2 ans de recettes du FPI. Un détournement d’une telle envergure signifierait que le FPI ne paye ni salaires, ni fournisseurs, ni prestataires, ni promoteurs. C’est absolument ridicule quand on sait que les rémunérations du personnel du FPI ont été substantiellement augmentés et que les projets sont financés avec régularité. Et comment cela pourrait-il passer inaperçu ? 250 millions de dollars américains, c’est 3,5% des recettes du budget de la République proposé par le Gouvernement pour 2020.
Le FPI et son comité de gestion attendent de pieds fermes la présentation au Procureur des preuves des allégations sus évoquées et le cas échéant, le FPI ne ménagera aucun effort pour traduire en justice les auteurs de ces allégations qui sont des faits infractionnels de diffamation et imputations dommageables, faits prévus et punis par les dispositions de l’article 74 du code pénal livre II.
D’ores et déjà, le FPI a saisi ses avocats pour cette cause
Conseils du FPI