Chasse à l’homme dans le Gouvernement congolais : qui en veut au ministre des Mines ?

La volonté de nuire est plus que manifeste de prime abord quand on suit le reportage de la chaîne CWTV du jeudi 15 janvier 2025 sur la situation sociale et autre des agents de l’administration centrale du ministère des Mines. Situation présentée comme déplorable par le confrère Marcelin Tshisuaka, l’auteur du reportage.Alors que l’on vilipende, dans les commentaires du papier virulemment toxiques, une suite d’accusations artificiellement fabriquées contre le Ministre Kizito Pakabomba, l’on monte sur le créneau sur l’attitude volontairement rétrograde de la racaille congolaise derrière ce chef-d’œuvre de dénonciations calomnieuses, injures et mensonges, qui est, de manière crève-cœur, caractérisée par la bassesse de la confusion des priorités ou urgences dans notre pays, en proie à une agression injuste et mis en mal par le petit nombres des cadres qu’il faut aux postes qu’il faut. Une initiative choquante qui apparaît comme le fruit d’une élucubration satanée, ponctuée des évocations de nature à dresser la nation, mais surtout le Président de la République, Félix Tshisekedi, et la Première ministre, Judith Sunimwa, contre l’entreprenant ministre des Mines. Des évocations qui ignorent, le plus curieusement du monde, toutes les considérations et actions géopolitiques, voire le passe récent et éloigné de ce ministère voulu le plus faible par les ennemis internes et externes de la RDC. Chapelet d’accusations infondéesLa volonté machiavélique de noircir et de faire rebuter le Ministre Kizito Pakabomba ne doit pas faire perdre de vue la méthode avisée d’apprécier l’action d’un ministre à la tête d’un ministère. C’est, en effet, de notoriété publique que l’on évalue cette action, en tenant compte de l’état dans lequel le ministre a trouvé le ministère à sa prise de fonctions et de la situation au moment de l’appréciation ou du départ du ministre de la tête du ministère.En outre, la prise en compte de ce principe met en lumière beaucoup d’imputations dommageables à l’endroit du ministre victime, partant, leur caractère infondé ou gratuit.C’est ainsi qu’à propos de l’accusation sur la construction de l’immeuble devant héberger tous les services et directions de l’administration centrale des mines, la vérité est qu’il existe un projet y relatif depuis deux ans, dont les études sont finies et pour lequel le Ministre Kizito s’est battu pour obtenir l’ANO nécessaire en vue de l’obtention des autorisations nécessaires et préalables au lancement des travaux de construction dudit immeuble, après s’être battu héroïquement afin que l’octroi du crédit soit inséré dans le budget 2025. Et le ministre n’attend que l’exécution de ce budget pour la construction effective dudit immeuble dont il lancera lui-même les travaux. Quant aux rémunérations des agents de l’administration centrale des mines, sachez qu’elles sont incluses dans le budget des rétributions connues des agents et fonctionnaires de la Fonction publique. Par ailleurs, depuis sa prise de fonctions, le ministre est parvenu à hausser de 40% la prime des agents depuis décembre 2024, quelques mois seulement après son élévation à la tête de ce ministère du fait de l’accroissement des recettes. Sous Kizito, les agents du ministère des Mines régulièrement affectés bénéficient des primes conséquentes dont la hauteur varie suivant le niveau des réalisations des recettes de la période correspondante. Par ailleurs, la paie de ces primes est assurée par le ministère des Finances conformément aux procédures réglementaires en la matière, sous supervision même de la délégation syndicale.De surcroit, au sujet du centre de santé pour la prise en charge médicale des agents, ces derniers ne sont ni privés de soins, ni relégués dans les oubliettes. Raison, chaque fois que la situation l’exige, les agents et leurs membres de famille sont orientés vers une installation médicale publique avec laquelle le ministère collabore pour cette fin, moyennant une autorisation délivrée par le DRH.Voilà pourquoi après ce débat qui n’avait pas lieu d’être, l’on se demande en quoi le ministre se comporte comme un potentat pour ignorer les revendications sociales des agents de l’administration centrale des mines et pour faire d’eux ses vaches à lait.L’homme qui fait la différenceAprès sa prise de fonctions, il a, notamment, visité les installations de l’administration centrale des mines et des services spécialisés, outre d’autres visites auprès des administrations provinciales durant ses itinérances et missions de travail dans moult provinces notamment, les provinces de Kasaï Central et de Lualaba, dans l’objectif de palper de doigt les réalités des conditions de travail des agents publics de son ministère. Egalement, il a doté des bureaux en de mobiliers et équipements informatiques, ordinateurs et autres matériels de connexion affectés dans chaque service ou direction, au terme de la rétribution des locaux jadis occupés par la Direction de l’Inspection sise à l’Inspection générale des mines (IGM). Il a, du reste, donné des instructions visant la maîtrise des effectifs pour éviter de perdre des frais pour primes de même que l’assainissement des fichiers de paie et des listes des agents.D’où l’appel lancé au chef de l’Etat et à la Première ministre, à cette heure où, plus que jamais le pays a besoin de ses bons cadres, de ne pas porter oreille aux élucubrations accusatrices contre les vrais gestionnaires et de diligenter des enquêtes afin de démanteler la conspiration et déterminer les identités de ceux qui en veulent à l’excellent ministres, qui fait la différence depuis sa prise de fonctions à la tête de ce délicat ministère de notre pays.Jean Potopoto

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